15 juin 2007
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Les Christmas Island sont déjà loin derrière nous.
Ce soir, mardi 12 juin, nous avons décidé de rester entre compatriotes (au moins par la langue) et de dîner avec Claude et Roswitha, tous les 4, au Steak House. Le
choix va de la côte de bœuf de 280 g, au T Bone Steak (de 250 g), en passant par le filet mignon, rien que pour parler du bœuf.
Nous nous sommes donc mis en tenue "Smart Casual" mais plus "Smart" que "Casual".
Nous avons fini au cabaret en buvant un pot avec nos copains américains, toujours aussi sympathiques et simples.
Le mercredi 13, enfin nous allons pouvoir comprendre l'exposé qui va se dérouler. Il s'agit d'un cours de cuisine par le chef français, qui parle un américain
nettement moins bon que le nôtre. Ce qui fait que le niveau de compréhension change de camps, et on voit les américains essayer de comprendre le discours du "chef".
Nous avons droit à la fin à la visite des cuisines. Impressionnant tout ce qui peut circuler dans le ventre du bateau: Il est consommé chaque jour: 3600 œufs, 500
litres de lait, 750 canettes de bière, 400 kg de viandes (bœuf, agneau, poulet). En tout les 650 passagers et les 400 membres d'équipage consomment 50 tonnes de nourriture et de boissons.
On comprend pourquoi, personne ne descend du bateau plus léger qu'en y montant.
Le dernier jour en haute mer, mercredi 13, c'est la soirée du capitaine, donc tenue de gala.
Michèle fait de l'effet comme d'habitude et nos deux monégasques détaillés par les américaines, qui veulent voir comment être chic sur la French Riviera.
Repas soigné, champagne, cocktail de crevettes légèrement pimentées, langouste et le clou: des omelettes norvégiennes (que les américains appellent "Alaska")
apportées par les serveurs qui font un tour des tables.
Puis cabaret avec un très bon spectacle, dont voici un aperçu:
Nous avons fini au Tahitian Bar pour danser et boire une dernière coupe, en assistant à la traditionnelle fontaine de champagne.
C'st à ce moment là que nous avons appris que notre ami Claude, avait le même problème que celui que nous avons eu à Papeete: compte bancaire bloqué.
Quand on habite à Monte Carlo et que l'on a une position importante dans le monde du sport automobile, çà la "fout mal". Evidemment, nous ça nous a rassuré
rétrospectivement de savoir que nous n'étions pas seuls dans ce cas.
Et téléphoner en pleine mer, via les satellites, avec 12 h de décalage, c'est un peu galère.
Demain nous arrivons à Hilo, et nous espérons qu'ils pourront faire du shopping, sans être obligé de faire la manche auparavant.
Je sens que de grosses surprises nous attendent dans ce coin de paradis, représenté par des surfeurs bien bronzés, sous un soleil toujours radieux.
A demain pour la suite de nos aventures….